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"La danse des fairies", peinture de Kate Cameron

Tomber dans les filets des fairies d'Écosse: enchantements, contre-enchantements et changelins

Dans l’article précédent on a pu découvrir la nature – souvent terrifiante – des fairies d’Écosse, cousines des fairies d’Irlande. On a découvert aussi quelques unes de leurs activités. Mais, en la matière, point de doute: ce que préfèrent les fairies c’est tourmenter les humains, les enchanter, les enlever… et parfois les tuer.

"Fairy ring", de George Cruikshank
"Fairy ring" de George Cruikshank.

Les charmes des fairies

Le problèmes, avec les fairies, c’est qu’elles peuvent vous tomber dessus à n’importe quel moment pour vous soumettre à un de leurs enchantements. Il existe de nombreuses raisons qui pousseraient les fairies à envoûter des humains mais, généralement, cela se résume au fait de trouver un ou  une amoureux.se mortel.le et trouver une nourrice, une sage-femme ou un bébé humain.

Lieux et moments propices pour rencontrer les fairies

Les lieux de rencontres avec les fairies sont toujours signifiants et ont toujours un lien avec la notion de seuil, d’entre-deux, d’espace liminal. Par exemple, les fêtes d’Halloween et de Beltaine, des moments très importants dans la vie rurale Écossaise (tout comme en Irlande), sont des moments liminaux par excellence: l’un marque l’entrée dans la saison sombre et l’autre dans la saison claire. Il n’est donc pas étonnant de pouvoir rencontrer facilement des fairies à ces dates, d’autant que, selon les légendes, elles profitent du changement de saison pour déménager. Il est d’ailleurs dangereux de se retrouver sur leur chemin à ce moment-là, d’où les multiples précautions qui sont prises lors des célébrations pour ni les croiser, ni les mécontenter.

Certains lieux et arbres sont liés aux fairies, comme le pommier et l’aubépine pour les arbres, et les tertres, collines, forêts et les puits pour les lieux. Il est  dangereux de s’y endormir, d’y manger, d’y boire, d’y parler. En bref, de s’y trouver.

Les risques d’être enlevé.e ou envoûté.e par les fairies est aussi différent selon votre genre. Ainsi, les femmes sont plus vulnérables aux enchantements, particulièrement au moment de l’accouchement: elles son susceptibles d’entre enlevées pour devenir la nourrice des enfants des fairies. Lorsque ceux-ci sont sevrés, ces femmes peuvent rester à Fairyland, rentrer chez elle… ou mourir. Il existe plusieurs histoires de femmes en couches enlevées mais que les fairies ont remplacées par un autre corps, qui, laissé pour mort, est enterré par la famille. Souvent, la femme enlevée est relâchée et retourne parmi les siens.

Aubépine, la plantes à baies rouges qui tient les fairies à distance.
Aubépine

Le langage, le vent et les flèches: les armes des fairies

Les armes des fairies pour attirer les humains sont souvent anodines, quand bien même elles mettent les humains en grand danger. Pour les attirer, rien de tel que la musique et les danses des fairy rings, quelques petits cadeaux ou de la nourriture. Pour kidnapper les humains, les fairies changent parfois le nom de leur victime: en leur « offrant » un nouveau nom, elles les condamnent en fait à rester captifs.

Les fairies possèdent toutefois de véritables armes. Celles-ci ne sont pas en fer: les pointes de flèches et les fléchettes sont faits dans une sorte de silex capable de blesser mortellement les parties vitales des humains sans toutefois transpercer la peau. Les procès de sorcières nous apprennent que les fairies n’utilisent pas d’arc pour tirer leurs flèches mais les envoient vers leur cible d’une simple chiquenaude du pouce. On dit qu’il est impossible de guérir des blessures infligées par ces armes, sauf si on trouve le point d’entrée qui est dependant… invisible. Ces armes sont redoutables, d’autant que ce serait avec elles que les fairies tueraient le bétail pour le plaisir. Ce qui explique le soin particulier que la population rurale prend pour protéger ses bêtes au moments des fêtes païennes.

Le vent est une autre arme des fairies. On l’appelle Whirlwind en version originale. Il s’agit d’une sorte de tourbillon assez violent qui peut emporter quiconque s’y trouve pris. On peut toutefois guérir du tourbillon par des herbes ou des charmes appropriés.

Le whirlwind est une sorte de vent magique assez proche d'une tornade.
Le "Whirlwind" n'est ni plus ni moins qu'une petite tornade.

La dîme version fairies: le paiement de l'Enfer

Le paiement de l’Enfer est l’enchantement le plus craint. On l’appelle aussi « Le dixième ». Ce nom est issu de celui d’une taxe très impopulaire chez les paysans écossais: il s’agit d’une sorte de dîme qui correspondait au dixième des revenus de chacun prélevé par les autorités religieuses.

L’idée d’un tel impôt a été transcrite dans le monde des fairies au moment où elles ont été diabolisées. Ainsi, l’histoire dit qu’elles devaient offrir un dixième de leur population à l’Enfer tous les ans et que la reine des fairies, pour sauver les siens, donnait autant d’humains que possible à leur place, adultes et enfants confondus. Sans grande surprise, la remise de cette taxe un peu particulière se déroulait le premier jour du mois de mai, c’est-à-dire lors de la fête de Beltaine, ou à Halloween. Les autres fêtes comme le solstice d’été (Litha), Lammas (Lughnasadh) ou encore Yule sont cités dans les procès de sorcières comme dates éventuelles de paiement. Plus généralement, les Quater days sont souvent évoqués aussi. Il s’agit des jours d’embauche saisonnière, souvent des jours de fête d’ailleurs et, comme à chaque fois, des moments liminaux. D’ailleurs, le paiement de cette étrange dette aurait lieu à la 12e heure du jour ou de la nuit ou au coucher du soleil, moments d’entre-deux par excellence. 

Fairy Glen, sur l'île de Skye, célèbre pour ses tertres @Katie Diederichs
Fairy Glen, sur l'île de Skye, célèbre pour ses tertres @Katie Diederichs

Dons et talents: les (faux)cadeaux des fairies

Il arrivent toutefois que les contacts avec les fairies aient (tout de même!) quelques bénéfices pour les humains. Le cadeau dont il est généralement fait mention dans les contes est un talent, un don et, bien souvent, le don de double vue et de prédiction. C’est le don qu’a reçu par exemple Thomas the Rhymer, le plus célèbre personnage des contes écossais, qui reçoit de la reine des fairies  le don de prophétie. Les fairies donnent aussi parfois la capacité à soigner ou un talent musical particulier. C’est le cas notamment dans les Orcades et les Shetlands, là où les Trows aiment attirer des joueurs de violon qu’ils séquestrent un an et un jour.

Je fais ici un petit aparté sur les kidnappings des fairies. Leur royaume est à la fois ici et ailleurs, dans un endroit où le temps se distord. C’est pourquoi le temps que les kidnappés passent avec les fairies est toujours différent de celui qui s’est écoulé pour les humains. Si l’on reprend l’exemple des joueurs de violons kidnappés par les Trows, ceux-ci sont condamnés à restés avec leurs ravisseurs un an et un jour, mais le kidnappé aura l’impression qu’une seule journée est passée. 

Bref, revenons aux cadeaux des fairies. Enfin… le terme de « cadeau » est d’ailleurs impropre puisque les fairies s’attendent souvent à ce que les humains, après avoir reçu ce « cadeau », restent avec elles.  Si les kidnappé.es refusent, les fairies menacent et usent parfois de violence physique. 

Globalement, ces « cadeaux » ne sont sont jamais gratuit et demandent toujours une contrepartie. Quand les dons sont donnés aux femmes par des fairies hommes, la contrepartie est souvent sexuelle et, disons-le franchement, la kidnappée n’est souvent pas d’accord. Oui oui, les fairies utilise le viol comme arme…

Fairy ring ou rond de sorcière.
Petit fairy ring

Se protéger des fairies: les contre-enchantements

Même si certains enchantement des fairies peuvent être bénéfiques, dans le doute, mieux vaut s’en préserver. 

Pour contrecarrer une attaque magique, on peut évoquer Dieu avec une prière, en utilisant une croix, une Bible ou de l’eau bénite. Sachant que l’Église a combattu de toutes ses forces les coutumes païennes, écossaises notamment, il n’est pas étonnant qu’elle ait érigé ses outils en « armes » contre le « danger » que représentaient les croyances ancestrales de ses ouailles…

Afin de protéger leurs épouses enceintes lorsqu’ils devaient voyager, les hommes gaéliques avaient l’habitude de mettre du pain, une Bible ou du sel près du lit conjugal. Pour protéger les adultes comme les enfants, on utilisaient aussi une arme de choix: le fer. 

Une arme de choix: le fer

Le fer est effet réputé avoir de grands pouvoirs sur les personnes ensorcelées et des vertus de protection contre de nombreuses attaques surnaturelles. Par exemple, les Écossais utilisaient des fers à cheval pour protéger les gens mais aussi les chevaux, dont on disaient que les sorcières les volaient pour les monter toutes les nuit. Pour cela, on suspendait des fers à cheval devant l’étable. Le fer est également réputé empêcher les âmes des défunts de revenir hanter les vivants. 

Cette prétendue vertu du fer trouverait son origine dans une ancienne guerre entre les fairies  et d’anciens habitants avec des armes en fer. On a sans doute ici une autre preuve de l’influence irlandaise. En effet, le Lebor Gabála Érenn, un récit irlandais majeur, raconte comment l’Irlande a connu des vagues d’invasion successives où chaque nouveaux arrivés triomphent avant d’être vaincus par les suivants, la dernière guerre étant celle perdu par les Tuatha Dé Danann dont il a été question dans l’article précédent. La tradition irlandaises est bien connue et assimilée par la culture gaélique et, même si l’Écosse n’a pas connu ce millefeuille d’invasions, des ruines ont toujours été là pour rappeler aux Écossais qu’il y avait d’autres gens avant, permettant d’autant l’assimilation de la tradition irlandaise et l’histoire de cette guerre avec des armes de fer. 

@Chur/Shutterstock
@Chur/Shutterstock

La nature contre les fairies: les plantes et les eaux

La nature, si elle est souvent le lieu de vie des fairies, est parfois aussi le moyen de s’en protéger. Le houx et le sorbier sont des arbres réputés protéger contre les fairies, les sorcières et, plus globalement, du mauvais œil. Le folklore chrétien n’étant jamais loin du folklore païen, fabriquer une croix avec des branches de sorbier serait terriblement efficace. Le rouge étant une couleur protectrice, les branches portant des baies rouges sont également utiles. 

Les eaux sont également protectrices. Dans de nombreux contes, on nous dit qu’il suffit souvent de traverser un cours d’eau pour être hors de danger… 

Sorbier des oiseleurs
Comme l'aubépine et le houx, le sorbier est une plantes à baies rouges.

Bored stones, têtes de flèches: guérir de l'enchantement d'une fairy

Une fois sous le charme des fairies, rien ne sert de courir pour lui échapper: vous êtes envouté.e. Rien ne sert non plus d’essayer de tuer une fairy. Elles ne craignent pas les armes ordinaires et, si elles sont blessées, elles guérissent très vite. Et personne n’a envie d’être la cible de la vengeance d’une fairy!

Il est possible de récupérer les personnes kidnappées par les fairies à des moments précis de l’année, à Halloween ou Beltaine comme le raconte très bien le conte de Tam Lin. 

Pour guérir d’un enchantement il existe plusieurs techniques. Certaines passent par le toucher mais il est souvent nécessaire d’avoir recours à des objets, le plus puissant d’entre eux est celui qui, souvent, est la cause du mal: une tête de flèche elfique. Elles étaient utilisées comme des amulettes, les plus riches écossais les faisaient d’ailleurs monter dans des colliers en argent. Associée au pouvoir de l’eau, la tête de flèche elfique est sans doute le plus puissant contre-enchantement. 

L’eau seule, avec un rituel répété trois fois, certaines plantes, du fil (de laine le plus souvent) ou du tissu sont également utilisé pour contrer les charmes des fairies. 

Illustration du conte "Tam Lin" par Charles Mikolaycak où l'on voit Tam Lin et Janet enlacés.
Illustration du conte "Tam Lin" par Charles Mikolaycak

Il est toutefois parfois nécessaire de faire un rituel préliminaire pour déterminer la nature de l’enchantement. Les personnes compétentes utilisent pour cela des pierres ramassées dans des endroits précis (collines, cimetières…), les font passer par le feu et l’eau avant de les placer au dessus d’une porte pour la nuit. Il est parfois nécessaire de faire ces manipulations à l’aurore ou au crépuscule, moments liminaux de la journée. 

Pour contrer les enchantements des fairies, il est souvent nécessaire d’avoir recours à des pierres ou des galets aux vertus protectrices, notamment des bored stones. Ces pierres trouées naturellement par l’érosion sont associées à la sorcellerie, au don de double vue et aux fairies. Elles sont utilisées pour toutes sortes de problématiques qui vont du désenvoutement au soulagement des douleurs de l’accouchement. Selon la légende, regarder dans les trou d’une bored stone permettrait d’avoir des visions ou de voir les fairies. Pendues sur mur, elles protègent des être surnaturels comme les fairies.

Bored stone dessinée par Hermitchild sur Devian Art
Bored stone, appeléée aussi "Hag stone" dessinée par Hermitchild sur Devian Art

Le cas du changelin

Le changelin (ou changeling en version originale) est particulièrement révélateur des croyances d’antan en Écosse.

L’accouchement était auparavant un moment de très grande anxiété: entre 1600 et 1800, un enfant sur quatre mourrait peu de temps après sa venue au monde. Au XVIIIe siècle, entre 3% et 18% des enfants décédaient en bas âge. Les maladies comme  la peste, le typhus et surtout la variole mais aussi les famines rendaient la vie des enfants très précaires. La vie des mères était également particulièrement en danger au moment de l’accouchement, moment crucial qui a été le terreau fertile de la légende du changelin.  

Cette légende, très répandue en Écosse mais aussi dans bien d’autres pays, raconte que les fairies volent des bébés humains et laissent des bébés fairies à leur place, souvent petits, chétifs, qui ne grandissent pas, pleurent tout le temps, etc. 

Une des explications apportées étaient que les fairies étant entre Enfer et Paradis, elles auraient cherché le contact avec les humains pour acquérir une âme… 

Cette légende pourrai prêter à sourire si elle n’avait pas été la cause de nombreux drames. Sprenger et Institoris, les dominicains allemands auteurs de l’abominable Malleus Maleficarum (1486) qui a envoyé tant de gens au bûcher et qui étaient censés être chastes de par leur condition, ne s’en sont pas moins érigés en fin connaisseurs en matière d’enfants, de femmes et de sexualité. Ils consacrent une partie de leur livre au changeling qui serait, selon eux, causé par le pêché des parents…

Les sages-femmes ont, par voie de conséquence, été particulièrement mal vues des autorités religieuses qui les suspectaient de tuer les enfants à la naissance ou de les offrir au diable, associé aux fairies. 

"Changeling", illustrations de Arthur Rackham (1905)
"Changeling", illustrations de Arthur Rackham (1905)

Imaginez un peu le mal que ces croyances ont pu faire: les enfants malingres, chétifs ou tout simplement malades étaient, de fait, considérés comme de potentiels changelins. Sans compter que le terme a ensuite été appliqué aux personnes porteuses d’un handicap mental. 

Les procès pour sorcellerie en Écosse mentionnent souvent les changelins et donnent également des moyens pour s’en débarrasser. Une des croyances les plus répandues était de laisser le changelin dehors toute la nuit, parfois près des puits, de pierres particulières, afin que le « vrai » enfant soit rendu. On visitait aussi des puits comme le Clootie well à Muncholy sur Black Isle, où on accrochait des tissus en espérant le retour du véritable enfant. 

Certaines traditions étaient particulièrement traumatisantes et il est certain que des enfants sont morts du fait de cette croyance, d’autant qu’on considérait que le « choc » du décès du changelin restaurerait l’enfant humain dans son corps…. 

Pour éviter l’enlèvement des enfants par les fairies, on passait ses vêtements dans la fumée d’un feu pour en chasser le mal, on posait un clou de fer, du pain ou une Bible dans le berceau ou bien on emmaillotait l’enfant avec les vêtement des parents. 

Ces croyances, sources de violences, ont perduré très très longtemps, au moins jusqu’au XIXe siècle. Pour vous donner un exemple, on connait à Rousay, dans les Orcades, à la fin du XIXe siècle, un vieil homme qui était considéré comme un changelin. Il était toujours vivant en 1924… C’est vous dire si ces croyances ont la peau dure. D’ailleurs, les personnes atteintes d’un handicap mental étaient dit « de la colline », c’est-à-dire qu’ils venaient de chez les fairies…

Clootie Well à Muncholy (Black Isle). La tradition d'accrocher un tissu est toujours bien vivace même si c'est aussi devenu une histoire de tourisme...
Clootie Well à Muncholy (Black Isle). La tradition d'accrocher un tissu est toujours bien vivace même si c'est aussi devenu une histoire de tourisme...

Les croyances aux fairies ne sont pas seulement porteuses de magie, de folklore ou de rituels un peu étranges. Elles sont parfois sources de vraies drames, témoignage de l’impuissance des hommes et des femmes face à ce qu’iels ne peuvent expliquer. 

Dans le prochain épisode, on partira à la découverte de Fairyland.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les chasses aux sorcières et le Malleus Maleficarum, je vous encourage à écouter le premier épisode de mon podcast Culture et préjugés sur le sujet. Vous pouvez également découvrir les origines d’Halloween, cette fête de tous les dangers à causes des fairies justement, avec l‘épisode qui y est consacré. 

Sur Halloween et sur Beltaine, il existe aussi deux articles sur le blog si vous voulez les découvrir:

Primevère dans la rosée le matin de May Day
La fête de Beltaine et de May Day
Photographie de deux citrouilles dans un champ plein de feuilles mortes
La fête de Samhain et Halloween

Maintenant qu’on en sait plus sur les fairies, qui elles sont, comment elles opèrent, il ne nous reste plus qu’à découvrir là où elles vivent, Fairyland. Ce sera dans le prochain article!

Ysae

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Sources

  • Lizanne Henderson, Edward J. Cowan, Scottish Fairy Belief: a History, Tuckwell Press, 2001
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